Une contruction dont la vigueur ne tue jamais la poésie…JM Hugues réalise parfaitement son programme : «respecter à la fois l’art et le public». Artiste trés douée ses paysages parisiens et de provence sont d’un talent ferme, loyal et raffiné. Elle a le goût de l’essentiel . Il faut lui faire confiance. Jean-Marc Campagne Le Collectionneur Français

Inspirée par la Provence. J.M. Hugues a peint la Camargue. Exécutée suivant sa technique si particulière qui allie heureusement l’usage du couteau et celui de la brosse. Mariage indécis du sol et de l’eau, intensité lunineuse d’une résonnance intérieure profonde, c’est une réussite certaine. Jean Rollin (L’Humanité)

Peintre de fleurs, elle évite le conventionnel si facile dans cet ordre et donne à ses oeuvres une fraicheur, une vie chaleureuse, que les rouges vibrants employés, en petites touches sur la toile affirment avec évidence, montrant que l’artiste connait la joie de vivre et aime à transmettre. Henry Gali-Carles

Le sujet est toujours des plus simples et la toile est nourrie, non par des détails anecdotiques, mais par une infinité de tons qui s’épousent, se complètent, se heurtent et qui donnent à l’ensemble que l’on se trouve tout autant devant un tableau que devant une mosaïque. André Flament Président des peintres Témoins de leur temps

Le peintre Jeanne Hugues, tout en respectant l’héritage que nous ont légué nos grands ancêtres, est sensible aux recherches du moment mais garde le soucis constant de préserverun style qui lui est propre, avec la volonté d’une srigoureuse simplification, afin d’atteindre le maximum de communication. Yan (Président d’honneur du salon des Indépendants)

JM Hugues va de l’avant et dans son élan créateur, elle atteint le meilleur d’elle même, une sensibilité, une tendresse, une exaltation qu’elle exprime dans sa peinture. Sa délicatesse se manifeste dans ses gris argentés. Elle utilise le couteau ou la truelle comme un maçon pour construire, non pas des murs, mais un ciel aux multiples nuances, des îles perdues dans des mers non identifiables. Jeanine Warnod Le Figaro

Dans son espace pictural, par une suite de savantes stratification colorées, Jeanne Michèle Hugues transforme sa vision en une musique linéaire. Elle est à mi-parcours entre l’expression instinctive et le recherche réfléchie . Jean Cluseau-Lanauve

L’acte pictural de JM Hugues est celui des paysages cosmiques et du festin de feu. Au niveau de ce flamboiement sa réalisation artistique, ses motifs, s’extasient comme des collages musicaux de la matière. La symphonie des couleurs nous y apparaît comme celle d’un printemps infini : secret de son regard. Peindre, chez elle, est égal à célébrer la liberté des images, naissant du fond embrasé de ses tableaux. Ratimir Pavlovic Poéte et critique d’art

… TTout est parfaitement équilibré dans les toiles de Hugues JM , les formes vigoureuses un cubisme discret à la réalité interprétée avec intelligence, sont disposées dans une mise en page très personnelle et extrêmement dépouillée. La sobriété des couleurs ajoute encore à ce dépouillement. Des gris très nuancés et quelques notations sombres ou claires suffisent à situer les différents éléments ainsi que les plans. C’est une peinture réfléchie calme et harmonieuse. Jeanine Baron La Croix

… TTout est parfaitement équilibré dans les toiles de Hugues JM , les formes vigoureuses un cubisme discret à la réalité interprétée avec intelligence, sont disposées dans une mise en page très personnelle et extrêmement dépouillée. La sobriété des couleurs ajoute encore à ce dépouillement. Des gris très nuancés et quelques notations sombres ou claires suffisent à situer les différents éléments ainsi que les plans. C’est une peinture réfléchie calme et harmonieuse. Jeanine Baron La Croix

Attentive à tout ce qui l’entoure et spécialement aux êtres, elle exécute des portraits : pour elle chaque modèle porte en lui même un monde d’où cet attrait pour cette forme d’expression. La densité de la matière, la fermeté de la ligne, la technique selon laquelle Hugues part en général d’un noyau central concentré qui peu à peu se dilue, s’éclaire jusqu’aux confins de la toile , jointes à une gamme colorée souvent lumineuse, constituent un sujet idéal pour la tapisserie. Les œuvres du peintre trouvent ainsi une nouvelle expression par le truchement de la laine de ses tapisserie d’Aubusson qui révèlent avec force l’harmonie parfaite entre une composition d’un bel équilibre et une palette nuancée jusqu’ au raffinement. Nicole Lamothe